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Quantum

by Nada

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    On vous invite à télécharger gratuitement cet album puisque la musique est libre et toujours elle le restera. De plus vous aurez la chance d'entendre une piste supplémentaire et le support visuel de la pochette du CD. Il nous fera plaisir de vous faire parvenir l’album en qualité optimale, demandez le par courriel.
    Purchasable with gift card

     

1.
Prologue4837 02:13
2.
Avez-vous déjà entendu parler du gars qui ne cessait de se moucher. On dit que tout a commencé au moment où il a été engagé. Il ne se doutait de rien, il ne connaissait pas son destin. C’était un gars bien ordinaire qui rentrait au boulot (à) tous les matins. Pour gravir la pyramide hiérarchique, il leur aurait prêté allégeance. Il ne se doutait de rien, il ne connaissait pas son destin. Ça aurait bien l'air qu'un jour, il aurait attrapé la grippe. Microbe, virus ou parasite. Les jours passaient, son cas empirait. Il ne se doutait de rien, il ne connaissait pas son destin. On dit qu’il s’est fait liquéfier le cerveau. On dit qu’il coule de ses narines. On dit qu'il n'est plus capable de penser. On dit qu'il grogne au lieu de parler. Il paraît qu'il n'est pas seul. Les oligarques bâtissent leurs troupes. Une armée de bureaucrates, barricades pour aristocrates. Ce sont des monstruosités qui se vautrent dans les bureaux. * Des cadavres qui reviennent à la vie seulement les jours de paye. Une prolifération de misérables délégués à la façade. Un dialogue de sourds avec des morts-vivants postés au front. * Le travail les dévore. Leur corps putréfié se décompose. Ils deviennent dysfonctionnels. Massacre cérébral ! Ce sont des monstruosités qui se vautrent dans les bureaux. Ils sont condamnés à la servitude pour le reste de leur existence.
3.
Sous un règne de terreur, une fabrique de peur artificielle. L'angoisse permet d'y croire, de se laisser guider par la haine. Pour maintenir son hégémonie, l'impérialisme a besoin d'ennemis. Je ne peux rien y faire, c'est plus fort que moi. Peur massive, (durable et) excessive. La différence incarne le mépris. Demain, quand les rôles auront changé, Trop tard, tu seras celui qu’ils craignent. * Je suis le bouc émissaire à usage populaire. * Les mots « ennemi de l'état » me collent à la peau. La crainte s'installe. Terrifiés, on se méfie les uns des autres. Je suis perçu comme un potentiel ennemi. Ma seule présence devient une menace. On n'est jamais trop prudent, un accident est si vite arrivé. La peur d'être victime te transforme en agresseur.
4.
Improvisé justicier en herbe. Vengeur assoiffé de sang. Les yeux écarquillés, gonflés et rougis d’hémoglobine. Le rideau se lève sur le théâtre de la mort. Absorbé par la mise en scène, la mise en scène macabre. À l’annonce du trépas, l’ironique exaltation. La mort en direct, à la portée de la main. La délicieuse victoire de regarder la victime agoniser. La jouissance face à sa souffrance, un plaisir enivrant. N'est-elle pas la même que celle qu'il a ressentie au moment du crime? La mort en direct, à la portée de la main. * Si son motif n’est pas moins légitime? S’il est innocent condamné par erreur? Si, à leur tour, les bourreaux seraient exécutés? Trouver la mort ramènera-t-elle la vie?
5.
C'était une journée grise, pas bien différente des jours de pluie. À l'aube de mes 30 ans, j'avançais à petits pas sur un terrain glissant, sans me douter de ce qui m'attendait. Je me suis arrêtée, une petite pause pour reprendre mon souffle. C'est sans prévenir que le sol se fissure à mes pieds. La terre tremble et s'ouvre pour m'avaler. Les jambes dans le vide, je m'agrippe fermement à la pierre pour ne pas tomber. Je n'en peux plus, mes bras tremblent, mes muscles brûlent. Sous le poids de mes douleurs, mes doigts vont céder. La fatigue prend le dessus. Sous la pression, la paroi s'écroule et je plonge dans le vide. L'impact de ma chute fut brutal. Si terrible que mon armure s'est brisée en ne laissant que poussière et souffrance. Je gisais sur le sol, le corps recouvert d'ecchymoses, les plaies ouvertes saignantes de douleur vive. J'ai crié, j’ai hurlé à en perdre la tête. Il me prit une envie de me déchirer la peau pour sortir de mon corps meurtri. Je n'avais plus la force de bouger. En reprenant mes esprits, je me suis retrouvée au fond d'un gouffre. Dans un abysse si profond qu'il n’y avait que noirceur. J'ai levé les yeux au ciel, même les étoiles ne brillaient pas. Dans l'obscurité glaciale, la peur me prit. J'entendais, près de moi, le grondement d'une bête. J'avais beau faire la morte, elle ne me quittait pas. Les jours passèrent, l'angoisse et la peur refusaient de partir. Les jours passèrent, mes yeux s'adaptaient au noir, je commençais à y percevoir des formes. La créature immonde que je craignais était (en fait) mon propre reflet. Je devais trouver le courage de confronter mes démons. J'avais perdu la trace du temps. Je ne savais plus où j'étais. J'avais perdu tous mes repères. Le flanc de la falaise était si abrupt qu'il m'était impensable de m'en sortir par là où j’étais tombée. J'ai dû prendre un chemin inconnu et y foncer. À travers (les) forêts, montagnes, marécages…, j'ai marché. Maintes (et maintes) fois, j'ai perdu espoir, mais j'ai continué à marcher. Des fois, au loin, j'entendais des murmures, des échos presque imperceptibles. J'ai tenté de les entendre, mais je devais me fier à moi-même. J'ai continué à marcher. Dans la nuit noire, j'ai fini par percevoir la lueur des étoiles. C'est en les contemplant que j'ai pu me guider. Je ne sais pas, ni comment, ni (même) pourquoi, mais j'ai retrouvé mon chemin. À travers ce périple, j'ai grandi, je suis désormais plus forte. Il est vrai que je ne serai jamais plus la même personne. Une partie de moi s'est éteinte en laissant des cicatrices, mais elle a laissé place à la résilience.
6.
Ils ont le pouvoir, les canons, l'armée, la police et les prisons. Nous avons la force du nombre, la masse désireuse d'un meilleur monde. Ils se moquent de nous, le jeu est truqué. L'égalité des chances n'existe pas. Établissons la base du rapport de force. L'égalité pour tous, c’est notre combat. Le fossé entre les classes est toujours aussi flagrant même si de petits bourgeois se prennent pour des grands. Hiérarchisation; les travailleurs s'auto-exploitent au lieu d'oeuvrer ensemble pour le bien commun. * Pour atténuer la colère, ils donnent l'impression : aux travailleurs qu'ils ont le pouvoir décisionnel, aux citoyens qu'ils ont le moyen de choisir, aux pauvres qu'ils décident de l'être. Mais tout ça n'est qu'illusion.
7.
Je me suis faite discrète comme une ombre que la lumière effacerait. Je me suis faite muette tel un silence qu’un soupir assourdirait. Je me suis faite douce, je me suis faite délicieuse comme la soie qu’une caresse briserait, comme un poison défendu. Je vous ai portés en moi, fruits de mes entrailles. Je vous ai donné la vie en vous offrant la mienne. Vous m’avez rendue mère des vices que la terre a portés. Vous m’avez rendue coupable des maux de l’humanité. Belle, vous m’avez faite déesse adulée. Séduisante, vous m’avez faite démone pécheresse. Je me suis noyée dans la tourmente, les larmes ont creusé mes joues. Je me suis effondrée en portant les fardeaux, le sol a usé mes genoux. Vous avez voulu me convaincre qu’être femme c’est être soumise, qu’être libre c’est vous offrir mon sang et ma chair. Vous m’avez façonnée à votre guise, me faisant l’objet de vos désirs. Vous avez fait de ma beauté les barreaux de ma prison. Sensuelle, vous m’avez faite putain impure. Laide, vous m’avez faite sorcière brûlée. Quand le vent se lève, que les pleurs se changent en déluge! Quand les rafales se déchaînent, que le tonnerre gronde de colère! Ma force jaillit des profondeurs, la terre tremble sous mes pas. Le soleil brûlant de vérité, je suis un volcan au cœur de feu. ** Je serai droite et fière, je renais de mes cendres. Je serai forte et libre, rien ne me fera taire. Je serai droite et fière, jamais je ne courberai l’échine. Je serai forte et libre, je serai la femme de mes désirs.
8.
Diversion 05:21
Chaque matin, obnubilé par les grands titres grotesques. Tu tournes les pages et grondes à la vue d'images-chocs. Le soir venu, à 18 h, les yeux rivés à l'écran, tu te passionnes pour des nouvelles aux allures romanesques. Obsession trouble provoquée par l’emballement médiatique. La réalité se dissout pour se fondre dans l’imaginaire. Pris de panique morale, de soubresauts d’angoisse. Il faut trouver un coupable. Les monstres, boucs émissaires, te sont dépeints sans nuances. Le temps passe, tu finis par en perdre le jugement. Héroïquement, tu décides de te lancer à l’aventure. Tu dépoussières de vieilles armes et te fabriques une armure pour défendre les veuves et les opprimés. Au service d’une cause dépourvue de sens : tu crois réparer les offenses; tu crois redresser les torts; tu crois corriger les injustices. Dû à de mauvaises lectures des événements : tu confonds moulin à vent et géants; tu confonds chevalier, brebis et mouton; tu confonds bandit et outres de vin. Dans un rituel burlesque digne d’une histoire apocryphe, tu mets ta lance en arrêt et te jettes contre les mécréants. Sans te douter que les monstres, que tu abhorres tant, ne sont que des mises en scène fabriquées de toutes pièces. Chevalier de l’ordre moral, pourfendeur des injustices, en proie à une succession de folies parsemée d’intermèdes lucides. Pendant que tu te démènes et t'évertues à combattre le vent, les perfides enchanteurs te détournent des enjeux véritables.
9.
Armé de patience, habité d'une vie qui attend. Il suffit qu'un bout de racine ait subsisté, qu'une simple graine ait été portée par le vent, pour que l'espoir renaisse des ruines. La terre couverte de bitume, on a voulu l'enterrer. Un désolant champ d'asphalte, à la surface débarrassée. On la croyait morte. Une graine de révolte, le germe de la colère. Se ramifie toujours la résistance. Nourrie des larmes des vivants, du sang des morts. Tenace repousse toujours l'insurrection. Sous la pression des tiges qui poussent, le sol ne pourra que céder. Juste une brèche, une fissure, pour qu'elles surgissent entre deux pavés. Sur un fond de macadam, de bourgeons à fleurs grandissent les idées. La beauté d'un amour retrouvé. Le parfum d'un rêve à réaliser. * Fleur noire attirée par le soleil. Squatteur aux allures éphémères. Rebelle, qui ne se plie pas aux dictats, sème à tout vent les graines de demain. **
10.
Du sol fertile de nos ancêtres, il ne reste qu'une terre aride. Le désert nous dévore, ne laissant que la poussière. Du paradis littoral des anciens, il ne reste qu'une côte érodée. La mer nous avale, sous l'eau notre monde coule. Des forêts tropicales millénaires, il ne reste qu'une surface déboisée. Le ciel s'abat sur nous, sans abri face au climat. Situation d'urgence environnementale. Situation d'urgence politico-sociale. La nature se déchaîne sur ses enfants devenus trop menaçants. Changement anthropique viscéral. Bouleversement planétaire. Faune et flore se détériorent. Nous en portons la faute. Un dernier regard bouleversé sur ce qu'est devenue ta terre. Il est venu le temps de quitter pour un lieu moins précaire. * Au crépuscule d'une ère, des populations entières doivent maintenant migrer. Quitter leur terre assassinée. Nous en portons la faute.
11.
Ahelna 07:35
Nous sommes le fruit d’un amour, la plus belle histoire qu’on nous a racontée. Avoir eu à choisir, nous n’aurions pu rêver mieux. Vous étiez notre premier amour, nous étions le centre de votre univers. Quand la vie nous écorche, vous êtes notre réconfort. À travers les épreuves, vous avez su nous guider. Vous avez mis le soleil dans nos jours de pluie. Oumi, ‘um el sous, femme libre et contestataire. Nous sommes ce que tu es, une extension dans le temps. Homme de coeur et d’esprit, ya abi, Abou el salo. Nous sommes ce que tu es, une extension dans le temps. Vous êtes la terre sur laquelle on se tient debout, le vent qui nous pousse à nous dépasser, l'azur qui nous protège, le feu qui brûle toutes les embûches. * Votre passé, vos combats; notre fierté, nos désirs.

about

La théorie de l’inexplicable

par
Hassan Tajeddine
Lina Tajeddine

MONTRÉAL, le 11 juin 2017


AVANT-PROPOS
Nous en sommes déjà rendus à notre quatrième album. Nos dernières compositions ont été créées dans un environnement plutôt intime. Cette approche nous a permis de développer une grande complicité. Par crainte de nous cloisonner dans nos habitudes, nous avons voulu ouvrir nos horizons en optant pour une forme de composition plus participative. C'est pourquoi nous nous sommes plongés dans cette expérimentation.

REMERCIEMENTS
La réalisation de cet ouvrage a été possible grâce à la participation de plusieurs personnes à qui nous voulons témoigner notre reconnaissance.

Nous tenons à remercier, dans un premier temps, tous les rats de laboratoires qui se sont prêtés à l'expérience pour avoir pris ce risque sans aucune compensation, ni dédommagement. Durant cette période, nous avons eu l'occasion de nous redécouvrir, de nous rappeler de bons moments, d'apprendre les uns des autres, d'alimenter nos réflexions et de nous inspirer mutuellement.

Nous remercions également famille et amis, qui nous ont offert leur appui tout au long de cette démarche. Nous sommes pleinement conscients de la place que prend un tel projet dans nos vies et que parfois, nos comportements frôlent l’obsession.

Nous ne pouvons passer sous silence tous nos camarades qui ont ponctué notre parcours musical et intellectuel, que ce soit pour un instant ou sur de longues périodes. On aurait bien voulu que vous soyez tous cobayes de cette expérience. Malgré cela, vous avez tous laissé votre marque et vous retrouverez sans doute votre trace dans cet ouvrage.

Finalement, nous tenons à te remercier tout particulièrement. Toi, lecteur et auditeur, pour avoir répondu à l'appel en prenant le temps de découvrir notre travail. En espérant que l’expérience te plaira autant que nous avons eu de plaisir à la réaliser.

Introduction

La problématique
Encore imprégnés des cultes monothéistes, abrutis, nous cherchons toujours la réponse unique, universelle. Bien que « Zéro » et « Infini » soient les prémisses de la logique, la vérité ne peut qu'être approchée. L'erreur la plus répandue est la recherche de la vérité dite « absolue », car seuls ceux qui n'ont rien appris peuvent prétendre tout connaître.

L’importance du projet
Une vision unique et des idées préconçues nous mèneront droit vers l'ignorance. Le bourrage de crâne pousse indéniablement à refuser le doute, à se cloîtrer dans le confort de la croyance aveugle.

Les objectifs visés
L'intention est de se défaire des bâillons de l'obscurantisme qui empêche l'expression contestataire. Ébranler les piliers sur lesquels tiennent les dogmes. Perturber l'ensemble des croyances inchangées qui édifie les doctrines.

Les hypothèses
À l'image de la science qui a déstabilisé les visions théistes, à la façon dont la physique quantique a bouleversé la mécanique classique (conventionnelle), l'émergence de nouveaux concepts, en contradiction avec les notions classiques, fait onde de choc. De cette notion centrale découlent les hypothèses suivantes :
● l'observation dérange le système observé;
● l’incertitude est une condition avec laquelle il faut composer;
● les phénomènes et comportements peuvent s'avérer contre-intuitifs;
● une problématique doit être évaluée dans son ensemble en raison de l’intrication des facteurs la composant.

L’approche empirique
L’expérience consiste à mettre en relations plusieurs éléments environnementaux, matériels et personnels pour observer l’interaction entre les plus petites unités indivisibles (quanta - quantité insécables). La démarche est un cheminement à travers une structure continue, ponctuée d’éléments discrets où se superposent complémentarité et contradictions. Le contexte dans lequel se produira l’expérience fera en sorte que des évènements, factuels ou hypothétiques, influeront sur le résultat de l’expérience. Que les collisions entre les éléments nous poussent hors des limites des zones de confort; que leurs fusions libèrent une forte énergie ! À travers les regards multiples, nous chercherons à décrire différentes facettes d’un même phénomène.

La méthodologie
Amorçons un processus de questionnement. D'abord, réinterrogeons nos héritages qui ont défini à notre place le bien et le mal; le bon et le mauvais; le vrai et le faux. Ensuite, mettons en place des moyens pour réfléchir et confronter nos idées. Finalement, établissons des bases de solutions sans pour autant les considérer comme inaltérables.

Résultats expérimentaux

L’observation dérange le système observé
Quel que soit le moyen utilisé pour observer un système, l'état de celui-ci ne pourra rester inchangé. Toute observation risque de changer le comportement du système et par conséquent, induire des erreurs d'interprétation. Seuls les éléments le composant peuvent contribuer à influencer positivement l'évolution du système.

Composer avec l’incertitude
Il est impossible de déterminer avec exactitude l'ensemble de l'information qualifiant un système. La mesure avec précision de certains de ces éléments mène à une connaissance médiocre des autres éléments composant le système. Cette incertitude est structurelle; c'est pourquoi il est essentiel d'apprendre à composer avec cette condition inhérente.

Les comportements contre-intuitifs
Certains phénomènes contre-intuitifs choquent le sens commun et nécessitent des réflexions ardues pour en comprendre le sens. La raison principale de ces difficultés d'interprétation est la multitude de systèmes de référence. Autrement dit, il est nécessaire de surmonter nos schémas de pensée et nos préconceptions pour comprendre des phénomènes et comportements qui s'avèrent contre-intuitifs.

L’intrication des facteurs
Aucun système ne peut être complètement isolé de son environnement. Ainsi, les systèmes sont interdépendants de telle sorte qu'une interaction en un endroit peut provoquer des répercussions, inimaginables, en d'autres endroits. Par le fait même, l'étude ponctuelle d'évènements isolés ne permet pas de concevoir l'image globale. Ainsi, chaque problématique doit être évaluée dans son ensemble, en cherchant à comprendre la relation entre tous les facteurs qui la composent.

Conclusion
Personne ne peut affirmer comprendre profondément le monde qui nous entoure. Aucune idée ne doit rester invariable dans l’espace et le temps. Bien que l’étude du microscopique se transpose quelquefois au macroscopique, plusieurs théories sont susceptibles de décohérence. Il est impossible de généraliser une idée et croire qu’elle s’applique à l’ensemble des situations. Ce qui est absolu ne peut qu'être illusoire.

credits

released June 11, 2017

Al Dik, Fadi :
- Esquisses au marqueur (Pochette).
Aldik, Abdalla :
- Postulant (Prologue4837); Art abstrait (Pochette).
Bora :
- Guitare, choeurs et co-composition (Je suis la peur);
- Choeur (Convergence).
Bourget, Mathieu :
- Trombonne et co-composition (Mauvaises herbes);
- Choeur (Convergence).
Charafeddine, Dalia :
- Choeur (Convergence).
Charafeddine, Dina :
- Choeur (Convergence).
Cousineau, Dominic :
- Mandoline et voix (Rapport de force);
- Choeur (Convergence).
Cousineau, Philippe :
- Batterie (Diversion);
- Choeur (Convergence).
Cyr, Annette :
- Chants et écriture en anglais (Le jour où je suis tombée);
- Choeur (Convergence).
De Lery, Geneviève :
- Choeur (Réfugiés climatiques);
- Choeur (Convergence).
Frenette, Myriam :
- Chants et co-composition (Le marteau des sorcières);
- Choeur (Convergence).
Gagnon, Julien :
- Batterie (Réfugiés climatiques);
- Choeur (Convergence).
Grégoire, Manolo :
- Violon (Le jour où je suis tombée);
- Choeur (Convergence).
Hudon, Sébastien :
- Guitare, voix de gorge et co-composition (Diversion);
- Choeur (Convergence).
Janelle, Simon :
- Saxophone et choeurs (Je suis la peur);
- Choeur (Convergence).
Khadar, Rachida :
- Esquisses à l'encre (Pochette).
Khayat, Nada :
- Traduction vers l'arabe (Ahelna).
LaForest, Sophie Catherine :
- Choeur (Réfugiés climatiques);
- Choeur (Convergence).
Leduc, Maxime :
- Guitare et co-composition (Le jour où je suis tombée);
- Choeur (Convergence).
Lefebvre, Justin :
- Batterie et co-composition (Mauvaises herbes);
- Choeur (Convergence).
Marcotte Paquet, David :
- Accordéon (Réfugiés climatiques);
- Choeur (Convergence).
Mathieu, Mélissa :
- Choeur (Rapport de force);
- Choeur (Convergence).
Meloche, François :
- Chants et co-composition (Exécution sommaire);
- Choeur (Convergence).
P. Prévost, Roxanne :
- Narration, choeur et co-écriture (Diversion);
- Art abstrait et correction des textes (Pochette);
- Choeur (Convergence).
Primeau, Lilie Anne :
- Vérification des textes (Pochette).
Renaud-Legault, Francis :
- Batterie (Normalocratie);
- Choeur (Convergence).
Renno, Rami :
- Conseil de sonorisation (Album).
Robitaille, Julie :
- Patronne (Prologue4837).
Robitaille, Karine :
- Narration et co-écriture (Le jour où je suis tombée);
- Art abstrait (Pochette);
- Réceptionniste, co-réalisation (Prologue4837);
- Choeur (Convergence).
Séguin, Christine :
- Piano (Le jour où je suis tombée);
- Choeur (Convergence).
Tajeddine, Fadi :
- Clavier, darbouka, voix et co-composition (Ahelna).
Tajeddine, Hassan :
- Guitare, voix, harmonica, percussions, boîte à rythme,
- co-composition, co-écriture, co-arrangement,
- co-réalisation, sonorisation et art visuel (Album).
Tajeddine, Lina :
- Chants, contrebasse, basse,
- co-composition, co-écriture, co-arrangement,
- co-réalisation, art visuel (Album).
Tessier, Cynthia :
- Trompette (Mauvaises herbes);
- Choeur (Convergence).
Viens, Stéphanie :
- Esquisses à la mine (Pochette).
Violleau, Frédéric :
- Guitare électrique, co-composition (Le marteau des sorcières);
- Choeur (Convergence).

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all rights reserved

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Nada Montreal, Québec

Cette peur viscérale, terrée au fond de nous. Un concept compris de tous pourtant inconcevable. La crainte du vide, celui que l'on cherche à remplir. Bien plus qu'un comportement instinctif, c'est un phénomène physique inévitable. Le néant tend naturellement vers sa propre extinction. Le vide, cet espace libre et absent de toutes contraintes n'est qu'un point d'origine, un appel à la création. ... more

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