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Qu'une famille

by Nada

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1.
Fils de rien 02:22
Mis à l’écart dès la naissance | il a vu le jour la clé au cou | dans une famille trop occupée | Pour prendre soin de l’éduquer | ** | Fils de rien | ** | Dès l’enfance, il vit seul | détaché de ses parents, son passé | Il a dû grandir par lui-même | apprendre de celle qui l’accueille... La rue ! | *R* | Mis à l’écart dès la naissance | il a vu le jour la clé au cou | dans une famille trop occupée | Pour prendre soin de l’éduquer | ** | De retour chez lui, il ne trouve que la télé | pour le divertir, enfin l’abrutir | Sans trop savoir pourquoi, ses parents divorcés | pour suivre une norme de vie, l’ont mis au monde | ** | Trop occupés à gagner leur pain | ils n’ont jamais trouvé le temps | d’aider celui qui est né de leur sang | à vivre un meilleur lendemain | *R* |
2.
Petite soeur 02:36
Petite soeur n’oublie jamais celles qui ont donné leur vie | pour que tu grandisses, pour que tu t’épanouisses | Refuse l’image qu’on t’offre de la femme | celle qui n’a rien de plus que son corps | Choisis plutôt celles qui ont du coeur | celles qui ne sont pas victimes de leur sexualité | ** | Sois belle et tais-toi | L’objet de leur désir | La soumission patriarcale | L’esclave de l’homme | …non plus jamais | ** | La reproduction, le maternage et les travaux ménagers | ne doivent pas être ton chemin prédestiné | Choisis tes rêves et lutte pour y arriver | le rêve est le début de la réalité | Ne deviens pas l’objet que l’homme t’impose d’admirer | Soit maître de tes actions, redéfinie ta position | promouvant tes droits pour améliorer ta situation | Par contre, n’oublie pas ta féminité | *R* |
3.
Panagérique 02:20
Ma famille, elle n’est pas de sang, elle est de coeur | Ma fierté est dans mes frères et mes soeurs | Ensemble, nous écumerons les routes, contre les vents et marées | Les coudes serrés, rien ne pourra nous arrêter | ** | À tous ceux que j’aime, qui m’ont tendu la main | sorti du gouffre quand j’y étais au plus bas | À ceux qui m’ont forgé, qui de leurs idées mon crée | qui n’ont jamais voulu abuser, donner sans jamais compter | ** | Même si encore je pars, toujours je reviendrai | Un amour à jamais vivant, je ne pourrais plus aimer | Une partie de vous vivra toujours en moi | Pour vous, mon coeur bat, je l’offre à ceux que j’aime | ** | Vous avez tous une place, sans 1ière ni 2ième classe | Malgré les gueules cassées, ceux qui en sont restés blessés | Nous partagerons nos chemins, que ce soit juste pour demain | pour traîner ou avancer, s’amuser, vouloir tous changer | *R* |
4.
La valse des vauriens : C’est la valse, la valse des vauriens | des voyous qui n’ont rien du tout | Même sans un sou, fauchés comme des clous | coup après coup, jouent le tout pour le tout | ** | C’est la valse, la valse des vauriens | de la racaille sens dessus dessous | des bons à rien qui ne croient plus en rien | Je resterai fière du coeur des miens | ** | C’est la valse, la valse des vauriens | Ensemble, on vit et rêve à demain | souhaitant être libre, souhaitant être sereins | Autour d’une bière entre copains | ** | C’est la valse, la valse des vauriens | Le jour, le soir, aucune règle ne tient | Reste parmi nous ou passe ton chemin | Rien ne te retient, le choix t’appartient
5.
Paranoïa 02:35
Enferme-toi à double tour, surveille tes biens, barricade les entrées | Les voyous sont partout, la police est là pour te sécuriser | ** | Menacé par la paranoïa de l’État policier, militaire, juridique | ** | Tu n’es plus à l’abri, des étrangers veulent envahir ton pays | Alors, tu supportes le mandat de l’armée, de les éliminer | *R* | Ils alimentent sans cesse ta peur pour te vendre la sécurité | Une atteinte à ta dignité, ils ont volé ta liberté | Surveillance électronique, caméra et mise sous écoute | Tu ne te sens pas visé, pourtant tu devrais t’en méfier | ** | Si on brime tes droits, tu as peur et ne répliques pas | Tu engages un avocat, tu attends, la justice te défendra | *R* | Ce n’est pas parce que tes actes sont légaux | qu’ils sont irréprochables et moraux | Ce système coercitif de lois et de réglementations | servent-ils vraiment à ce que tu leur attribues comme intention ?
6.
Sur le seuil 02:40
Tu broies du noir, la vie vaut-elle la peine d’être vécue? | Tu n’en peux plus des problèmes à perte de vue | Tout est encore possible, ne te croit pas vaincu | Aussi longtemps que tu respires, rien n’est perdu | ** | Des pensées suicidaires te dominent la tête | Tu rumines, élabores un plan pour te faire la fête | Les mots que tu craches riment avec la mort | Derrière tes yeux se peint ton sort | ** | Isolé, seul dans ton coin, à tes malheurs, tu veux mettre fin | Allez viens, parle-moi, je te tends l’oreille, prend ma main | Il est possible que je ne te comprenne pas | mais j’aurai toujours le temps de t’écouter | ** | Pense à ceux qui t’aiment, que tu laisserais en deuil | Ceux qui veulent voir dans tes yeux | l’espoir des jours heureux | Pense à ceux que t’aimes, que tu perdrais sur le seuil | Ceux qui veulent voir dans tes yeux | l’espoir des jours heureux
7.
Paria 02:28
Le crâne rasé ou les cheveux en crête | Ils te rejettent et ne te comprennent pas | Ils confondent l’anarchie et le chaos | Ils refusent de t’écouter sans se moquer | Tu es paria, on te pointe du doigt | Tu es rebu, un déchet pour la rue | Pourtant, tu prônes des valeurs égalitaires | tu espères un monde libre et humanitaire | ** | Rappelle-toi qu’on est là | Qu’on lutte avec toi pour rester authentique | Qu’on se supportera quoi qu’il arrivera | Résiste! | ** | Libertaire, tu vis loin de leur folie | Détacher de la norme qu’ils cherchent à t’imposer | Tu refuses l’ordre préétabli | Tes idéaux guident ton mode de vie | Tu es contre réaction à cette machination | à ce système unidirectionnel, tu es l’opposition | Tu affrontes la corruption des dirigeants et des patrons | qui n’offrent aucune alternative possible | *R* | Même si ce monde malsain te dégoûte | ne reste pas isolé dans ton coin | Canalise ta rage, dirige ta colère | ils ne te réduiront pas à la poussière | *R* |
8.
La tempête 03:19
Le ciel noirci qui te paraissait si loin | maintenant, pend au dessus de ta tête | Gorger de colère prête à éclater | déverser les clous perçant son coeur | ** | Rien n’échappe à l’oeil de la tornade | épargnant ni hommes ni bêtes | Les larmes raflent tout sur leurs passages | Derrière les torrents, il ne reste que les os | Au coeur de la tempête | ** | Le vent cri à pleins poumons | L’aquilon aux hurlements qui se bousculent | Tonne le tumulte d’un ton agité | La foudre décharge ses représailles | *R* | Épuisée, tranquillement, elle s’apaise | La tempête passée, les nuages pleurent encore | Jusqu’à ce que la lumière les transperce | que la chaleur du Soleil les aide à oublier
9.
La bête 00:54
« De nos entrailles fumantes, libérons la bête . Des flammes de la colère se déchaînent les éléments. Sous une nouvelle forme d'abomination, les cendres de l'ombre sortent du néant... le chaos » La Bête
10.
Chaque jour, tu te réveilles en te demandant si c’est le dernier | si demain matin tu verras encore le Soleil se lever | Tu dois trouver un moyen de survivre, subsister | nourrir ta famille, ceux qui sans toi ne pourraient exister | ** | Dommages collatéraux | Trop de familles déchirées par la mort | Dommages collatéraux | Trop de peuples réduits à néant | ** | Tu vis au plein coeur des mitrailles | enfouis sous les décombres des bombardements | Dans ces hostilités, tu n’as pas pris parti | pourtant, tu te retrouves au centre du conflit | *R* | Tu espères simplement que cesse la guerre | que tu arrêtes d’en creuser les tombes | Tu espères simplement voir l’ombre de la paix | que tu arrêtes de ramasser les corps qui tombent | *R* |
11.
Jamais je ne servirai un État auquel je ne crois pas | Je refuse d’être meurtrier, le sang n’est pas ma récompense | Je n’étendrai pas votre empire à travers le monde | Je ne serai pas un outil de la colonisation | ** | Les véritables terroristes c’est vous qui creusez le fossé entre les races | Je ne participerai pas à la décimation des peuples | Par la guerre, vous créez la haine pour des positions stratégiques | Par les forces armées, vous imposez vos visions | ** | Par raison économique ? Vos armes me répugnent | Pour votre sécurité ? Jamais je n’obéirai | Pour des raisons religieuses ? Jamais je ne tuerai | Pour votre pseudoliberté ? Jamais je ne mourrai | Service militaire ? Jamais ! Jamais ! | ** | Puisqu’ils sont au régiment | les tueurs deviennent légaux | Puisqu’ils sont armés par l’État | les assassins sont sans remords | *R* |
12.
Adieu 02:56
Trop de phénomènes sont à tes yeux inexpliqués | Tu recherches une parole qui pourrait te rassurer | Des réponses divines se sont offertes à toi | L’illumination, maintenant tu as la foi | ** | Tu vis en acceptant tous les châtiments | Une seconde vie plus belle chasse les tourments | Ta vie n’est pas entre tes mains, c’est dicté par les cieux | Quoiqu’il arrive, c’est la volonté de Dieu | ** | Ta religion qu’est ce qu’il en reste | le fanatisme se propage comme la peste | une élite religieuse qui est plus que fortunée | confrontation et guerre à perpétuité | ** | Ta religion, ne cherche pas à l’imposer | Tes rituels, c’est à toi des pratiquer | Ta spiritualité, c’est entre toi et ton dieu | Tes sermons, garde-les pour toi | ** | L’enfer, le paradis, c’est ma conscience | La vie après la mort, c’est ce qu’il reste de moi | Les créateurs sont ceux qui m’ont enfanté | Les prophètes sont ceux qui m’ont éduqué | ** | L’homme créa Dieu à son image | il a trop longtemps dicté nos vies | *R* |
13.
Miroir 02:20
L’information de qualité est négligée | Les potins et scandales, des banalités surexposées | Le sensationnalisme est devenu la clé | pour que les cotes d’écoute ne cessent de grimper | ** | À chaque situation d’oppression | se développe un langage qui lui est propre | Des propos homophobes en guise d’insulte | des discours racistes et misogynes pour se valoriser | ** | À chaque époque, l’art et la culture | sont les reflets des préoccupations | Une musique populaire vide de sens | un humour de taverne dégradant | ** | Arrête et regarde ton reflet dans le miroir | À ta bouche, il n’y a que sexe, argent et violence | Du pain et des jeux, c’est ce qu’ont eu les Romains | Aujourd’hui, ton empire amorce son déclin
14.
Pion 02:50
Sans te méfier, tu remplis leur base de données | Tu te crois en sécurité, que tu n’as rien à cacher | Si tu vis à l’écart de leur chemin, ils sauront te retrouver | Si c’est ça être humain, moi je préfère être un chien | ** | Tu es pion voué à l’échec | manipulé au service de ton roi | Chacun de tes faits et gestes | ils savent déjà ce que tu feras | ** | Tiens-toi droit, bouge que si on te le dicte | Tiens-toi droit, tu n’es qu’outils de leur pouvoir | ** | Sans te méfier, tu remplis leur base de données | Tu te crois en sécurité, que tu n’as rien à cacher | Si tu vies à l’écart de leur chemin, ils sauront te retrouver | Si c’est ça être humain, moi je préfère être un chien | ** | Tu protèges l’acquis monarchique | Tu défends ceux qui te gardent en bas | Tu n’as aucun choix à faire | Tu vis épié et classifié | *R* |
15.
Argent roi 01:28
Sacrifier les conditions de vie | pour l’ensemble de l’humanité | Au nom de l’argent roi | c’est la loi du marché | ** | Par-dessus les têtes, le poids de l’oppression | d’une société bâtie sur la surconsommation | Pendant que ceux qui détiennent les propriétés | ont oublié ce que veut dire travailler | ** | Argent Roi | ** | En retour, il n’y a qu’exploitation | de la population qui s’appauvrit | de la nature qui dépérit | sans aucun lendemain possible | ** | Le capital glorifié sans cesse | au nom de la richesse de l’État | qui grandit sur le dos de son peuple | et du reste de la Terre mis au profit | ** | Par-dessus les têtes, le poids de l’oppression | d’une société bâtie sur la surconsommation | Coupable de la souffrance de masse | à coups d’économie, tuer pour grossir | *R* |
16.
À la recherche de nouvelles routes commerciales | la tragédie commence par une erreur géographique | Au premier contact avec les indigènes | les Espagnoles découvrent l’or du Pérou et du Mexique | Qui s’enrichissent par la destruction des civilisations | 2-3 Millions, pillage des terres sacrées | 50 Millions de morts, ce que la guerre a oublié | l’esclavage et la maladie s’en sont chargés | ** | Génocide, je me souviens | ** | La tragédie s’installe aussi dans le Nord | la traite des fourrures attire la France et l’Angleterre | Les colonies installent leurs empires en Amérique | Des guerres internations dans l’échiquier commercial | Le clergé envoyé pour évangéliser les sauvages | les colons envoyés pour s’emparer des terres | La propagation des maladies, les conséquences sont désastreuses | partout où l’homme blanc passe, la mort suit de près | *R* | Les colonies s’agrandissent, pour étendre leurs territoires | ils ont voulu l’assimilation des 1ières nations | Par le rejet de leur identités et le conditionnement | ils envahissent les territoires et sédentarisent les autochtones | Les colons récupèrent les terres pour l’industrie forestière | délocalisent les populations pour l’urbanisation | Bouleversement écologique à des fins agricoles | positionnement stratégique pour le développement hydroélectrique | ** | Souviens-toi des Amérindiens, de la richesse exploitée au profit de l’Europe | Souviens-toi du vol des terres, du marchandage inéquitable | Souviens-toi de la mort, des maladies et des épidémies | Souviens-toi de ton histoire, qui sont inhumains, qui sont les barbares ?
17.
Sous les oliviers de la Palestine | se dresse une jeunesse qui ne cherche qu’à être libre | Allez, sèche tes larmes, il ne faut pas pleurer | Ta fierté comme arme, continue à lutter | Sous les oliviers de la Palestine | se dresse une jeunesse qui ne cherche qu’à être libre | Jeunesse palestinienne, debout, faut que tu tiennes | face à l’oppression, tu ne pourras que gagner | ** | Honte aux colons qui t’oppriment | Le désir de déposséder ne devrait pas exister | Cette oppression constante pour que tu t’éclates | pour justifier l’occupation de ta terre | *R* | Légitimer la barbarie par les saints écrits | Au nom de la religion, on t’a pillé | Pour une terre sainte d’intolérance | Au nom de Dieu, ils veulent te tuer | *R* |
18.
Ton quartier 03:45
Ton quartier, celui où tu as vu le jour | c’est lui qui t’a appris à vivre et à aimer | Ce quartier, tu le chéris toujours | ils ne sauront t’en déposséder | Ces rues où tu as passé tous tes étés | ces feux en forêt où tu as fêté | ces soirées dans les parcs à boire et à chanter | ces terrains de jeux où tu as pu te défouler | ** | Tes rues sont maintenant surveillées | par des porcs en bleu bêtement costumés | Pour eux, tu es un énorme danger | une menace à leur sécurité | ** | Avec leurs bulldozers, ils l’ont déboisée | pour faire place aux grands supermarchés | Ils ont tué tous les marchés locaux | qui n’ont plus de quoi subsister | *R* | Il est maintenant infesté | par des gangs de rue organisés | Les territoires subdivisés | pour en tirer une part de marché | ** | Ils ont instauré un couvre-feu | À 11h, tu dois quitter | Soit t’enfermer seul chez toi | ou engraisser les coffres des bars | *R* |
19.
Sans terre 03:08
Je ne connais ni mère ni alleux | Rien ne m’appartient | Partout où le vent m’amène | je serai toujours chez moi | ** | Jamais de guerre de religion ni combat pour mère patrie | Nous ne voulons plus de frontières | faire tomber toutes les barrières | Nous ne croyons en aucun drapeau | aucun pays n’aura notre peau | ** | Humain, vie sans foi ni loi | Direction de mon coeur | le chemin des saisons | unique, mais pas si différent | *R* |
20.
Un peu de fruit du datura et de poison du tétrodon | saupoudré de vers séchés et d’ossements humains | du venin de crapaud pour prolonger la catalepsie | Le prêtre fin prêt à créer son armée de zombis | ** | Au contact avec la peau, empoisonné par le Koupoud | malheureux, tu as reçu un coup poudre | Tes organes vitaux se sont aussitôt affaiblis | de ton corps n’émane plus aucun signe de vie | ** | Enterré vivant | Au crépuscule, ils sortent de leurs tombes, c’est la nuit des morts-vivants | Ils errent aux abords du village, partout on entend leurs gémissements | Anthropophage au teint livide, avide de chair fraîche | Horreur, ils boitent et emboîtent le pas, pour se nourrir avant l’aurore | ** | Au moment convenu, ils déterrent les morts vivants | à présent soumis au contrôle des sorciers Hougan | Constamment drogué par les sorts vaudou | tu te retrouves dans ces lieux, nul ne sait où | ** | Tu n’as plus de cerveau, mais ton corps est encore envoûté | pour toujours condamné aux travaux forcés | Revenant métamorphosé en esclave idéal | qui sans jamais mourir se tue au travail | *R* |
21.
Même combat 01:58
Rouge ou noir, tous unis dans le même combat | pour répondre à la violence réactionnaire, lève-toi, bat toi | Tous unis nous vaincrons | ** | Contre l’oppression constante du pouvoir économique | la masse solidaire écrasera la pyramide du capital | Se rassembler, se battre, refuser d’être exclus ou martyrs | Marcher pour se libérer d’un système qui n’appartient qu’aux riches | Partout, les exploités se lèveront, affronteront leurs exploiteurs | Faire résonner notre colère révolutionnaire | face à tout fascisme et situation de guerre | Unis par le même désir d’égalité | *R* | Poing au coeur, poing en l’air | ** | Rien ne pourra nous arrêter | malgré leur besoin de nous garder inférieurs | Ils seront forcés de céder | En groupe, nous serons moins vulnérables | ** | Même combat
22.
Révolte-toi révolte noire! | Pour la paix, mais non passif | Pas de justice, pas de paix | Une… la… en… par… colère solidaire | ** |On refuse de taire notre colère | tant que les injustices persistent | La rage de l’insoumission restera saine | tant qu’elle entraîne la libération | ** | Unité, recréons nos liens de fraternité | Liberté non partagée, elle est illusoire | Égalité, refusons la subordination | Unité, liberté, égalité… Solidarité | *R* | On aimerait casser les murs de l’oppression | pour que nous caresse le vent de l’insoumission

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MANIFESTE POUR UNE FAMILLE UNIE
Bien qu’il soit clair que l’homme est l’égal de l’homme, ce n’est pas le constat que l’on peut faire en ce jour. La mort, l’oppression, l’exploitation et l’humiliation en témoignent. Tant que la discrimination entre sexes, le racisme, l’homophobie et les écarts de classes perdureront, unis, nous nous y opposerons. Faisons preuve de tolérance, d’indépendance, d’ouverture et de curiosité. Il faut que l’on mette un terme aux injustices pour que l’humanité puisse jouir de ses droits fondamentaux et s’épanouir en toute liberté.

credits

released January 18, 2013

… POUR DES JOURS MEILLEURS
Car nous sommes tous frères et soeurs;
Pour que chacun puisse s’épanouir dans son milieu tout en participant activement à l’avancement social. Pour qu’il n’y ait plus de dominants ni de dominés, rien ni personne n’a plus d’importance qu’un autre. Pour que le sang arrête de couler, la terre n’est pas un bien qu’on peut posséder.
Pour agir, il faut croire; pour croire, il faut espérer; pour espérer, il faut rêver. Bien au delà de l’espoir, j’écris et je cris parce que j’y crois, rien n’est plus beau que de rêver éveillé.
Nous lutterons jusqu’à notre dernier souffle pour voir des jours meilleurs.
Montréal, le 20 novembre 2009
_________________________
Hassan Tajeddine, Guitare / Vocal / Textes /
Harmonica / Didgeridoo / Enregistrement / Mixage
_________________________
Lina Tajeddine, Basse / Chant / Contre-basse /
Percs / Sax (Sur le seuil)
_________________________
Catherine Dalphond, Drum / Percs / Back-ups / Infographie

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Nada Montreal, Québec

Cette peur viscérale, terrée au fond de nous. Un concept compris de tous pourtant inconcevable. La crainte du vide, celui que l'on cherche à remplir. Bien plus qu'un comportement instinctif, c'est un phénomène physique inévitable. Le néant tend naturellement vers sa propre extinction. Le vide, cet espace libre et absent de toutes contraintes n'est qu'un point d'origine, un appel à la création. ... more

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